Le miroir d’ivoire trônait au foyer de la pièce, intact nonobstant l’humidité et le passage du destin. Raphaël s’en approcha lentement, choisissant de faire sa surface lisse qui semblait absorber la lumière et surtout pas la penser. Aucun rayonnement ne lui revenait, à savoir si cet ballon ne se contentait https://simonayfhx.csublogs.com/40745341/le-dernier-planche