L’étranger errait dans les ruelles du carnaval toujours, adoptant le masque colorés qui semblaient figés dans un état d’oubli hypnotique. Chaque bras dansait avec bonne humeur, sans jamais s’arrêter, tels que s’ils étaient pris dans une noeud temporelle dont personne ne se souvenait l’origine. Il se demandait combien de faits https://gregorymerer.vidublog.com/32863364/les-masques-du-sort-oublié