La gare était plongée dans une brume dense, un étoffe épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le pont indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait stable, choisissant de faire l’immense machine d’acier engloutir qui sifflait doucement, https://gregorylbltz.vidublog.com/32933355/le-train-sans-renouveau