La gare était plongée dans une brume dense, un store épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait stable, observant l’immense poste de travail d’acier mélancolique qui sifflait lentement, https://brooksjmnlj.blogrenanda.com/40190789/les-numéros-du-futur