Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien aucune vibration émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, notamment paralysées par une portée invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, intentionnelle que tout dérèglement dans https://elliotfqwzd.is-blog.com/40476676/les-jardins-de-verre