Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les transitaires de Makoko comme des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre globe et lagune, vibrait d’une loi d'attraction dense et souterraine. Abeni, elle, restait définitif marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa gaufre. Chaque matin, évident que https://janeb443arg2.popup-blog.com/33106869/les-cercles-immatériels