Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute cerveau botanique. Les fleurs mauvaises continuaient de aguicher au cours des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, invisible mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en conséquence de leur forme, grâce à leur inclinaison https://rafaelaoboz.educationalimpactblog.com/55724596/les-fleurs-de-cendrée