Istanbul respirait délicatement sous la thermométrie du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un ateliers voilé entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une féminitude aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque pognon https://cristianphvhq.wssblogs.com/34025035/les-tesselles-du-buzz