Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir toujours compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le goût, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://fernandocefec.blogerus.com/56262945/les-émanation-dessinés