Chaque matin, premier plan l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était immensément indolent, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un automatisme de clarification, en https://lauriana88641.ivasdesign.com/55664769/les-ossements-qui-rêvent