Chaque nuit, la ville produisait des ondes muettes, inaperçues des capteurs traditionnels. Ces énergies, enregistrées par le sismographe affectif, révélaient des flux intenses de ressentis collectifs, d'ordinaire dissimulés marqué par la sérénité apparent de le support urbaine. La voyant, connectée à ce réseau délicat, lisait les icônes vibratoires comme des https://edgaracdby.blogdeazar.com/34370393/sismologie-de-l-invisible